Soumise d’une domina saphique

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il y a 5 mois

Lorsque nous étions à l’école, je me souviens que c’était elle qui décidait, qui recadrait les mecs collants. Laurie m’a toujours impressionnée et quelque part menée par le bout du nez. Mes parents ayant déménagé, nous nous sommes perdues de vue pendant des années, elle m’a beaucoup manqué, j’avais perdu une amie, une complice bien plus courageuse que moi. C’est hélas, la vie des familles de militaire que de changer de région régulièrement.

Nous nous sommes retrouvées par hasard devant un cinéma, quelle ne fut pas ma joie. Nous étions dans deux queues différentes quand je l’ai aperçue, j’étais si contente que j’ai perdu ma place pour aller l’embrasser et discuter avec elle. Laurie m’a demandée d’aller voir le même film qu’elle pour que l’on soit ensemble. Cela aurait pu être l’inverse, mais bon, comme par le passé, Laurie décidait, je suivais.

Avant le début du film et pendant l’entracte, nous avons pu discuter, parler de nous. Pendant la seconde partie du film, elle m’a pris la main et ne l’a plus lâchée au sens propre et au sens figuré puisque nous avons fini la soirée chez elle. Elle a débouché un bouteille de champagne pour fêter nos retrouvailles, à la troisième flûte, j’étais déjà pompette. Lovée dans ses bras, je me sentais bien, elle me câlinait et jouait avec mes cheveux longs qu’elle trouvait très beaux. Lorsque Laurie a commencé à m’embrasser dans le cou, j’avais des frissons de partout, ses baisers ont poursuivi leur chemin sur mon visage, je devenais sa chose. Elle a soudain happé mes lèvres puis ma bouche avec sa langue cherchant la mienne.

Je me laissais faire plus qu’autre chose même si ce baiser n’était pas désagréable du tout. Quand sa main s’est glissée dans mon corsage pour venir titiller mon téton, j’ai bien senti que cela dérapait mais je me suis laissée faire, j’étais si bien. Il est possible que le champagne ait bien contribué à mon abandon à un plaisir nouveau et contre nature. C’était si bon, si tendre, si excitant que je n’ai pas éprouvé l’envie de la fuir. Si j’écris « la fuir » c’est parce que sa main est devenue exploratrice, inquisitrice. Elle a glissé sous ma jupe pour griffer l’intérieur de mes cuisses pour continuer de m’exciter, de me faire baisser ma garde.

Ce n’est que lorsque sa main s’est attaquée à mon chaton par dessus la culotte, que j’ai mis la mienne pour l’arrêter. Elle l’a attrapée avec sa main libre pour l’écarter et la tenir, en me disant de me laisser faire avant de me bâillonner de ses lèvres gloutonnes. Je n’ai pas serré les cuisses, je l’ai laissée faire, j’ai laissée la « garce » jouer avec moi, car c’est bien ce qu’elle faisait. Un mec aurait plongé ses doigts dans la culotte, elle non, elle s’amusait par dessus le rempart de tissu à me titiller, à me chauffer, à me rendre vulnérable par l’excitation. A ce moment là, j’ai commencé à lui rendre ses baisers, j’étais chaude comme la braise.

Lorsque ses doigts se sont glissés dans la culotte, je ne les ai pas fuis, bien au contraire, je les attendais. Son expertise de sournoise m’a rapidement conduite au bord du gouffre, celui dans lequel on a envie de tomber. Elle jouait avec la limite si bien que lorsqu’elle a commencé à retirer l’ultime protection de mon intimité, j’ai soulevé les fesses pour l’aider. Pourquoi ? Je ne sais pas, car je suis un peu pudique de nature. Jupe relevée, chatte à l’air, vautrée cuisses écartées dans son canapé, je suis devenue son jouet, sa poupée de chair incapable de résister.

Ses doigts d’experte m’ont conduite au plaisir et ne m’ont pas lâchée. Ils ont même profités de l’instant magique et profités de mon abandon pour me pénétrer. J’ai joui pour la première fois sur les doigts d’une femme. Mais quelle femme ! Une cannibale gloutonne qui a refusé de me lâcher. Il ne lui a pas fallu longtemps pour me faire apercevoir qu’une autre vague de plaisir n’était pas loin. C’est là que son côté domina a commencé à s’exprimer, en attrapant mes cheveux pour me tirer la tête en arrière sur l’accoudoir de son canapé. Mon bras gauche était bloqué par son corps, mon bras droit a été tiré vers le haut pour rejoindre mes cheveux. J’étais bloquée, vulnérable à souhait dans cette position. Ce n’était pas ma faute si je devenais très cochonne, en écartant encore plus les cuisses pour qu’elle continue.

Sans jamais me lâcher, elle m’a encore faite jouir deux fois, faisant ainsi tomber toute envie de résistance. Attrapée par la main comme une gamine, j’ai été entraînée dans sa chambre. Elle a sorti des menottes pour me les poser sur les poignets. Je lui ai demandé bêtement ce qu’elle faisait, en guise de réponse, elle m’a poussée sur son lit et s’est couchée sur moi et entre mes cuisses pour m’embrasser. A la tête de son lit, il y avait un crochet en quelques secondes mes menottes étaient bloquées au dessus de ma tête. Une fois entravée, je l’ai vue et sentie glisser sur moi pour plonger sa tête entre mes cuisses. Le contact de sa bouche m’a fait comme une décharge électrique, sa langue l’a aussitôt entretenue pendant que ses doigts me fouillaient sans pitié. J’ai alors « vécu » un nouvel orgasme foudroyant d’une puissance jamais éprouvée.

Le mot « vécu » est adapté car c’était si puissant que j’ai presque eu peur, peur car tous les muscles et nerfs de mon corps étaient pris de contractions. Lorsqu’elle s’est relevée, j’avais les yeux fermés, j’étais dans un autre monde, sur une autre planète.

Laurie ne m’a pas laissée repartir et rentrer chez moi. Après m’avoir libérée, elle m’a dévêtue et couchée pour me câliner comme un bébé après avoir éteint la lumière. Pendant ses câlins, entre deux baisers doux, elle murmurait que j’avais de très sérieuses dispositions pour devenir une excellente soumise. Elle faisait la thèse et l’antithèse dans un monologue envoûtant pour décrire ce que je venais de vivre en soulignant que le fait d’être attachée m’avait beaucoup plu.

  • Ta dernière jouissance sous entraves te le prouve, tu ne peux nier que c’était un grand moment. Ces entraves t’ont libérée des préjugées, de la honte de jouir des plaisirs de l’abandon. Ne pas pouvoir fuir a décuplé tes sensations. Je vais te prendre en main et te faire connaître d’autres plaisirs que tu ne soupçonnes même pas. Ce soir ce n’était que les amuse-bouches, cela te permet d’imaginer que cela peut être que de devenir ma soumise ! Me disait Laurie en me mettant en perspective qu’une nouvelle vie s’ouvrait à moi.

C’est donc ainsi que notre relation a commencé, que je suis devenue sa soumise.

A suivre

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Très joli texte et bien écrit. On est pris par l'histoire, un peu courte c'est vrai. Mais il y aura une suite 😀
Très bon début, très excitant tant c'est bien écrit. J'adore ! Dommage que même pour un début ce soit si court.
un bien jolie récit, vivement la suite.
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